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Angry Birds Go : Mario Kart avec des plumes !

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Pour le billet du mois (je sais je ne suis pas très assidu ces derniers temps), un petit avis un sur un jeu tablette et smartphone qui commence à dater mais que j’apprends à apprécier : Angry Birds Go !

Le Concept :

Allons au vif du sujet, Angry Birds Go (que je vais rebaptiser de suite ABG ca ça me gave un peu de devoir écrire le nom en entier à chaque ligne de ce billet), c’est tout simplement Mario Kart version oiseaux Angry Birds.

Vous virez le plombier et ses amis, vous les remplacez par les oiseaux en colères et leur ennemis cochons et vous avez une idée exacte de ce qu’est le jeu. Lire la suite de « Angry Birds Go : Mario Kart avec des plumes ! »

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Le coin du gamer : Asphalt 7 sur iOS

On commence à le savoir depuis le temps, mais un appareil iOS ça sert à beaucoup de choses et notamment à jour.

Au grand dam des Sony, Nintendo et consorts, les iPad et iPhones sont devenus avec le temps des plateformes tout à fait crédibles pour les gamers nomades.

Comme c’est la tradition depuis quelques années, cette fin d’année 2012 voit apparaître la 7ème version d’Asphalt, le jeu de course automobile de l’éditeur Gameloft.

Vétéran du jeu sur téléphones portables, Gameloft fait, soyons franc, rarement preuve de créativité et se contente de reprendre (qui a dit copier) des grandes licences existantes pour les adapter à nos écrans tactiles.

Avec Asphalt 7, l’éditeur va piocher du côté des références que sont Need For Speed ou Brunout.

Visuellement, le résultat est très réussi, avec des graphismes bien sûr inférieurs à ceux d’une PS3 ou d’une XBox 360 mais supérieurs à ce que l’on peut trouver sur les consoles de poches.

On est donc face à un jeu de voiture beau pour les yeux, qui comble du bonheur, nous offre la possibilité de piloter de vrais modèles. Lire la suite de « Le coin du gamer : Asphalt 7 sur iOS »

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Solatorobo : la DS a encore de beaux jours devant elle !

Depuis la sortie de la 3DS la plupart des observateurs prédisent une mort imminente pour la DS et sa petite soeur la DSi.

Ces annonces faites à l’emporte pièce sont à relativiser vues les dernières décisions prises par le management de Nintendo pour remonter les chiffres de ventes plus que médiocres de la console portable 3D (baisse de prix, jeux offerts …).

On peut encore plus douter de ces prédictions quand on voit la qualité de certains jeux sortis ces derniers moi sur la DS.

Le dernier exemple ayant vu le jour : Solatorobo.

Solatorobo est un action RPG, comprenez pour les non gamers un jeu de rôle privilégiant les phases d’actions aux combats gérés par le biais de menus.

L’histoire (que je ne vais pas trop dévoiler car après tout l’intérêt d’un RPG digne de ce nom vient souvent de son histoire) : dans un monde où les habitants sont des animaux, un renard nommé Red officie en tant que chasseur de trésors. Comme dans tout bon RPG, Red est accompagné de ses fidèles compagnons et dispose pour ses déplacement d’un appareil volant et pour ses explorations d’une monture robotisée ! Evidemment lors d’une de ses chasses notre ami se retrouve embarqué dans une quête dont il se serait bien passé afin de trouver le moyen de sauver le monde à la merci d’un immense danger (comme dans tout bon RPG qui se respecte).

Le principe : comme l’exigent les codes du genre, Red va devoir tout au long de son aventure réaliser une quête principale mais aussi des quêtes annexes qui lui permettront d’accroître ses capacités ainsi que celles de son fidèle robot. Et c’est d’ailleurs de ce robot que le titre tire une partie de son originalité ! Lors des habituels combats, c’est le robot qui est mis à profit par le biais de phases d’actions où il faudra non pas frapper ses ennemis mais réussir à les soulever pour les lancer au sol et ainsi leur infliger des dégâts. Evidemment chaque nouvel ennemi aura ses propres faiblesses ce qui donnera lieu à l’apprentissage de nouvelles techniques.

L’autre originalité du jeu est que le robot ne sert pas que pendant les combats, il servira de grue ou de treuil (un peu à la manière de l’exo-squelette bien connu des amateurs de la série Alien), mais se verra très vide doté d’ailes qui lui permettront de voler. Dans un premier temps d’îles en îles lors de séquences proches de la pateforme et ensuite au cours de courses en 3D reprenant certains principes bien connus de Mario Kart : les boosts, les objets …

Bref de la variété dans l’action …

D’un point de vue visuel, Solatorobo est une pure réussite. Les décors en 3D pré-calculée sont splendides et la manière dont le héros se déplace au sein de ces décors rappellera aux plus anciens d’entre nous les séquences d’exploration d’un Final Fantasy 7 ! Les séquences de vol elles sont en vraie 3D et démontrent que la petite DS en a encore sous le capot !

L’aventure est quant à elle loin d’être linéaire, en alternant exploration, combats (notamment au coeur d’une arène), courses aériennes et découvertes de nouvelles capacités pour le robot ! Le plaisir est d’autant plus rallongé, que de nombreux objets sont à collectionner (images, sons …) et que d’autres quêtes sont via une connexion internet !

Au final la DS se fend d’un superbe RPG qui démontre que la petite portable de Nintendo est la reine du genre et que surtout, si les éditeurs s’en donnent la peine, ses plus beaux jours sont encore devant elle !

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Souvenirs d’un gamer : Episode 3 : Les années PS1!

Cher gamer, si tu as moins de 15 ans, tu ne le sais peut être pas, mais avant le milieu des années 90 la modélisation 3D n’était pas si répandue que cela dans le monde du joyeux vidéo!

A l’époque Nintendo et Sega régnaient sur le monde et pourtant celui qui allait tout révolutionner ne faisait pas partie des grands noms du gaming : Sony!

Dans les 90’s Sony était connu pour ses télés, lecteurs de CDs et ses magnétoscopes (oui jeune avant le DVD pour regarder un film on se munissait de petite briques noires chargées de bandes nommes VHS mais c’est une autre histoire), et ce n’est pas sans un sourire aux lèvres que la communauté des gamers a accueilli ce nouvel arrivant!

Et pourtant quelques mois après la sortie plus personne ne riait et tout le monde s’enthousiasmait devant cette console désormais mythique : la Playstation.

Etant un grand retardataire du gaming, je ne mis la main sur la précieuse console qu’à la sortie de sa version « slim » nommée sobrement PS One et qui annonçait déjà la sortie de la PS2.

Pour moi PS1 rimait à l’époque avec Rayman, Wipe Out  et surtout Tomb Raider!

Et oui, le fonds de commerce de la console de Sony étant la 3D, quelle plus belle manière de démontrer sa puissance qu’en modélisant les formes appétissantes de la jolie Lara Croft!

Mon autre jeu culte : Spiderman! Quel bonheur pour un fan de comics de pouvoir guider le tisseur entre les immeubles new-yorkais, le tout évidemment en 3D pour un effet qui à l’époque donnait presque le vertige! Finalement tout ce que les fans de Spidey attendaient depuis des années!

La PS1 fut également le terrain de jeu privilégié des sportifs de canapé avec Fifa et dans mon cas Tony Hawk qui mettait enfin à ma portée les joies du skateboard acrobatique.

Tout cela sans oublier évidemment la série des Tekken, des GTA, des Gran Turismo, Metal Gear et j’en passe!

Finalement en y regardant bien toutes les franchises qui comptent aujourd’hui existaient déjà sur la PS1 et ce n’est que justice pour cette petite console qui a finalement tout révolutionné!

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Capcom réinvente la borne d’arcade sur iPhone!

Je vais vous parler d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître!

Retour dans les 80’s à l’époque les consoles maison s’appelaient Nes, Master System et il faut bien l’avouer, même si les bons jeux étaient au rendez-vous dans nos salons, rien ne valait la sensation d’une petite partie entre amis sur une borne d’arcade!

Pour les plus jeunes lecteurs de ce blog (ou ceux qui seraient tombés dans une faille temporelle) la borne d’arcade était une espèce de gros meuble pourvu d’un écran, d’un gros joystick et surtout d’un monnayeur car, à l’époque, les joueurs payaient à la partie!

Dans les 80’s, avoir une console à la maison n’était pas encore rentré dans les moeurs, et investir dans ce type de gadget était réservé à quelques privilégiés aux parents ouverts d’esprit.

Alors chaque soir avant de rentrer à la maison on prenait nos quelques francs et on jouait. On jouait à Street Fighter 2, à Ghost’n Goblins ou à 1945.

Ces souvenirs semblaient enfouis dans la mémoire de retro gamers nostalgiques et pourtant depuis quelques semaines les heureux utilisateurs d’un iPhone ont le plaisir de retrouver les sensations des bornes d’arcade made in Capcom grâce à une application nommée tout logiquement : Capcom Arcade.


Outre le plaisir de retrouver sur soi et au sein d’une même app les jeux de notre enfance, la grande originalité de ce Capcom Arcade est de ne pas proposer au joueur un plaisir illimité mais au contraire de le faire payer à la partie (une fois dépassé les 3 crédits quotidiens généreusement offerts par l’éditeur) comme au bon vieux temps des bornes.

Et cette limitation qui génère au tout début de la frustration finit par décupler le plaisir. Pas de « continus » illimités comme dans les jeux maison, pas de parties infinies, si le joueur veut aller au bout du jeu, il doit, soit acheter des crédits, soit s’améliorer. Le gaming redevient ainsi un sport où l’entraînement prime, sous peine d’exploser son budget! Et n’est ce pas la base du gaming?

Alors si vous aussi, pensez que les jeux next gen, les Playstation 2, X-Box 360 ne sont que poudre aux yeux aveuglant les joueurs sous une avalanche de HD conçue uniquement pour dissimuler l’absence de profondeur des jeux modernes, revenez aux bases du gaming et rendez-vous vite sur l’app store, c’est gratuit (du moins dans la limite de 3 parties par jour) et ça vous rappellera de bons souvenirs!

Hadoken…

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Souvenirs d’un gamer : Episode 2 : Les années Sega …

Vous l’attendiez depuis longtemps (ou pas), voici enfin la suite de mes mémoires de gamers.

Je vous avais laissé sur la lente perte d’intérêt des développeurs pour l’Amstrad CPC. Devant le peu de nouveau jeux faisant leur apparution, il fallut bien trouver un plan B. Et au milieu des 90’s, ce plan B s’appela Sega.

Après un passage rapide sur la Master-System, qui me permit de découvrir quelques pépites comme « Alex Kidd », « Golden Axe Warrior », « Wonderboy » ou encore « Shinobi », j’enchaînais très vite sur la Game-Gear, la petit soeur portable de la précédente.

Et que de bonheur j’ai eu avec cette console plus transportable que portable, vu la faible autonomie et son poids largement supérieur à celui d’une Game Boy. Mais ça en valait le prix, car avec elle, les graphismes étaient jolis et contrairement aux adeptes de Nintendo, nous les Segaiens, nous avions la couleur. Cette première console portable (qui restera pendant plus de 18 années la seule que j’ai possédée) fut une bonne camarade qui m’accompagna en voiture, en avion, en France à l’étranger me permettant ainsi de vivre les aventures de « Sonic », les courses de « Road Rage », la suite des aventures de « onderboy » ou de me laisser embarquer par le magnifique RPG qu’était Defender of The Oasis à n’importe quel endroit du globe!

Quelques temps plus tard, et bien que je ne me sois jamais vraiment lassé de la Game-Gear une nouvelle venue fit une entrée dans l’univers des consoles : la Megadrive!

Amis trentenaires souvenez vous de ces mots qui hantent nos mémoires : « Sega c’est plus fort que toi! ».

Et c’est vrai qu’à l’époque ce fut plus fort que moi! Mes premiers jeux : « Sonic » évidemment et « Ecco the Dolphin ». Passons vite sur le dauphin et sa fable écolo aux jolis graphismes et au message positif pour parler de « Sonic ».

A l’époque la Super NES trustait les étales des super marchés et tout le monde se pavanait devant Mario. Avec Sonic, le jeu de plateforme entra dans une nouvelle ère: celle de la rapidité. Finis les sauts parfois poussifs du plombier, Sonic courait, sautait à une vitesse supersonique, se transformait en super guerrier, semblait même parfois voler. On ne commandait plus vraiment un personnage de jeu, on devenait presque un pilote.

Bien sûr il n’y eut pas que « Sonic » sur la Megadrive, je garde un souvenir magnifique de nombreux jeux comme : « Legend of Thor », un RPG qui fit presque passer Zelda pour une antiquité, « NBA Jam » et ses fameux « he’s on fire », « Mortal Kombat », « Desert Strike », « Landstalker », « Street Fighter 2 », « Wonderboy » (qui m’a suivi sur toutes mes consoles Sega) …

Et tant d’autres …

Malheureusement fort de son succès Sega entra dans sa phase de grand n’importe quoie t multiplia les accessoires plus ou moins farfelus « Mega-CD », « 32 X » et précipité finalement la mort de sa dernière console à Cartouches, et provoqua surtout mon désintérêt pour la firme au hérisson.

Mais ça c’est une autre histoire …

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Souvenirs d’un Gamer : Episode 1 : les premières années!

Les petits jeunes ne le savent peut-être pas mais les consoles de jeux ne sont pas apparues avec l’avènement de la PS2!

Les trentenaires comme moi ont ainsi pu voir évoluer les jeux vidéos des premiers pixels magiques aux full HD des consoles next gen!

Petit retour sur ma vie de gamer avec une présentation de toutes ces jolies machines que j’ai eu la chance de posséder!

La toute première: Le Videopac

Ma carrière de gamer a commencé très jeune: je devais avoir 2 ou 3 ans, le jour où mon géniteur a eu la bonne idée d’investir dans le Philips Videopac:

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Imaginez la révolution: on pouvait enfin jouer sur la télé de la famille en raccordant simplement l’engin à l’entrée antenne (ça ne s’invente pas, la Péritel n’existait pas à l’époque).

Un gros machin aux allures d’ordinateur sorti de Cosmos 1999, 2 pads pourvus d’un bouton et de grosses cartouches équipées d’une poignée tellement l’extraction était difficile!

C’était l’époque des Pac Man, Space invaders et surtout d’un splendide jeu de duel entre 2 cowboys représentés par une adjonction de carrés et tirant des balles toutes aussi carrés!

L’étape suivante fut l’arrivée de la 1ère console transportable : le Vectrex!

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Le Vectrex était un concept assez particulier: il s’agissait en fait d’un oscilloscope pourvu de 2 manettes à 4 boutons (une révolution), avec écran monochrome intégré et sur lequel il fallait adapter un filtre afin d’agrémenter les points blancs de quelques couleurs! J’ai oublié les noms des jeux mais je garde de bons souvenirs de mon premier jeu de courses, des luttes acharnées entre vaisseaux spatiaux et surtout d’un jeu de guerre basé sur le pilotage de tanks maladroits!

Changement d’époque et arrivée des ordinateurs familiaux : le CPC 464!

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Les CPC 464 de Schneider, car oui les CPC n’étaient pas seulement commercialisés sous la marque Amstrad! L’ordinateur à cassettes avec écran couleur! 30 minutes pour charger un jeu mais quel bonheur de pouvoir jouer à Bomb Jack, Rick Dangerous, Double Dragon …

Notre patience ayant des limites, l’adjonction de 2 lecteurs de disquettes ne tarda pas (2 pour copier facilement les jeux)! Ce fut aussi les prémices du hacking: acheter un jeu sur Disquette, le copier pour ensuite négligemment bousiller un fichier, à l’aide du logiciel pirate de l’époque) pour se le faire rembourser ensuite!

Cet ordi avait le mérite d’avoir une ludothèque terrible reprenant les hits de l’arcade ainsi que quelques ovnis tels “L’arche du Capitain Blood” ou encore “Lemmings”!

Suite à l’abandon de la commercialisation de ce génialissime computer, les consoles firent un retour remarqué à la maison, mais ça, c’est une autre histoire!